© Psychozee

Jeissy Done Wildleson :

« Une citation. »
SOPHIA BUSH

I think it's not to be

NOM(S): Widleson
PRÉNOM(S): Jeissy Done
ÂGE: 21 ans
LIEU DE NAISSANCE:
EMPLOI/ETUDES:
STATUT: Célibataire.
GROUPE:

I & my enthusiastic cloud

« Jess' bouge toi ! » Le sommeil était une chose dont j'ai toujours profité au plus grand dame de mes parents lorsqu'il s'agissait de l'école. Les effets de la boisson ne s'étant pas encore dissimulé, le réveil fut dur. Ouvrant les yeux, je ne savais plus vraiment où je me trouvais, une grande maison, des tas de personnes plus ivres les unes que les autres puis...Caelan. Ma meilleure amie. Une personne sur laquelle je pouvais toujours compter, c'était d'ailleurs cette fille qui me connaissait comme personne. Malgré mon caractère tumultueux et volcanique de tant à autre, elle me supportait. Cependant, je me devais de la supporter elle aussi. Nous formions le duo de choc, un duo inséparable aux nombreuses sorties et conneries en tout genre. « Laisser moi dormir, laisser moi... » L'exaspération fut la première chose que je vis au réveil en ce jour ancré sur le visage de ma compatriote. « Quelle heure est-il Pomme de reinette ? » Je l'appelais comme cela lorsque j'étais d'humeur taquine, chose très fréquente lorsque nous sortions d'une fête grandiose. « Onze heures Jess'... » Le réveil fut brutal et je fus rapidement sur mes pieds. « BON DE DIEU ! Je suis en retard ! » J'étais en retard, courant en cherchant les affaires qui m'appartenaient, essayant de mettre mes idées au clair, je vis le regard interrogateur de Caelan. « Repas ou réunion de famille comme tu veux ! » Je détestais ce genre d'instant ou la famille était au grand complet, chacun racontant les dernières choses qui se passaient dans leurs vies ou encore dans leur domaine de profession. L'ennuie était la première chose ressentit en ce genre d'évènement. Mon paternel était la première personne à savoir mon désintérêt total pour ces foutu repas et pourtant je tachais d'être présente pour ne pas le décevoir et pour ainsi profiter de revoir certaines personnes qui comptaient à mes yeux. Quant à ma mère, elle était une femme très charitable et heureuse aux yeux de tous mais, hélas ce n'était pas la personne dont j'étais le plus proche dans le couple Widleson.

« Mademoiselle Wildeson, que fessiez vous ce soir-là ? » Je restais tangible face à cette question, étudiant si le mensonge était plus convenu dans ce genre de situation ou pas. « J'étais chez moi, dans ma chambre, je dormais certainement » Je tentais de rester sereine, calme et certaine de mes paroles. De toute façon, qui serait la vérité ? Mes parents approuveraient mes dires, ils avaient bien vu que j'étais allé me coucher cette nuit là. Durant cette interrogatoire, je me préoccupais plus de savoir ce qui allait suivre de cette situation. « Très bien, nous en avons fini pour l'instant avec vous, mademoiselle ». Ces paroles m'effrayaient, cela voulait dire qu'il allait avoir une suite ? Je n'aimais pas cet endroit et ce genre de personnes qu'était cet homme. « Pas de soucis, au revoir monsieur l'agent ». Ce fut rapidement que je désertais les lieux. En fait, il sait avérer que cela n'était qu'un simple entretien de routine, plusieurs personnes avaient été interroges, certaines que je connaissais, d'autres pas du tout. Ceci n'était pas le plus important. Tout cela me fessait flipper. Qui n'aurait pas eu peur devant ce policier, j'avais eu même l'impression d'avoir commis un crime, d'être suspecte.

« Tu ne t'imagines un peu ce que cela va donner bien plus tard ? Tu vas partir très loin de toutes ces attaches que tu as ici, Jeissy ». Ah, le grand cinéma de madame Widleson. Vous ne le connaissez pas ? C'est étrange dans ce cas. Cette femme qui est une femme que j'admire de tant à autre pouvait être une femme aussi détestable. Je savais pertinemment que mon choix sur mes études ne seraient pas accueillie très gentiment par ma mère appelait Hélèna. Les études de droit étaient selon cette femme un choix beaucoup mieux et qui plus est avantageux. Hélas, pour elle, je ne désirais aucunement suivre ces traces. Avait-elle assurément espérer que je reprenne son cabinet un peu plus tard. Chose dont il était hors de question. « Hélèna, laisse cette jeune femme tranquille ! Laisse lui la liberté de faire les choix qu'elle désire ! ». Mon sauveur, mon paternel, certainement le seul à comprendre les choix que j'ai toujours effectués dans ma vie. Mon véritable supporter au plus grand désarrois de son épouse. Pourtant, notre paternel est la personne qui a tendance à protéger fortement sa progéniture et encore bien plus lorsqu'il s'agit de sa fille. La seule et l'unique. Oui, hélas, je fus fille unique. J'aurais pourtant adoré avoir une petite soeur ou plutôt un frère que j'aurais embêter à chaque occasions. Pour la paix de mes parents ce n'était pas plus mal. Mes géniteurs étaient ce genre de personne qui aimaient leur tranquillité bien que leur travail était la première chose qui le préoccupait au premier matin, enfin surtout ma mère, mon paternel était tout autrement que cette 'charmante' femme. Charmante était le mot que leurs amis employer, quant à moi j'aurais plutôt ajouté agaçante. Qu'est ce qu'elle pouvait être agaçante et pourtant, cette femme était la première à vouloir me donner quelques conseils lorsque des difficultés se dresser face à moi.

« Qu'est-ce que tu fais la ? ». Le sursaut me surpris fessait part de la peur que j'avais eu en le voyant dans le miroir situer derrière moi. Je détestais pertinemment les entrer faite par surprise et il le savait, une chose qu'il le fessait rire d'ailleurs. Sa joie se décomposa quand il vit mes affaires éparpiller sur mon lit. « Qu'est-ce que tu fais Jeiss' ? Il avait pris cet air grave, le silence pris une nouvelle fois place avant que je daigne lui donner une réponse. Je n'y parvenais pas. Il le fallait. « Je m'en vais Soel. Je déménage ». La phrase était tombée, elle fit d'ailleurs l'effet d'une bombe à retardement. Je redoutais sa réaction. « Tu ne peux pas, tu n'as pas le droit de partir. Tu ne vas pas me laisser tout seul ! ». Des paroles qui me poignaient le coeur. Je ne voulais pas lui dire. Partir comme ça du jour au lendemain pour justement éviter les au revoir ou les adieux. « Je t'en supplie Soel, ne rend pas les choses plus dur qu'elle ne le son déjà. Je ne t'oublierais jamais. Je te le promets ». Ce jour fut la première fois ou elle le vit pleurer, du moins où elle vit les larmes d'un garçon. Elle n'avait jamais pensé que cela pourrait l'atteindre autant. Elle désertait les lieux. C'étaient mes parents qui avaient pris cette décision et intérieurement je leur en voulais. « Tu t'en vas ou exactement ? » Je savais parfaitement qu'il allait me poser cette question. « Je ne sais pas Soel...surprise ! » je devais bien avouer que la scène n'avait rien de très amusant mais, l'humour dans ce genre de situation était la meilleure échappatoire. Ce n'est pas vrai ! Tes parents sont les gens les plus maudits que je connaisse ». Je me terrais dans le silence, préférant le laisser déverser sa colère. « Soel ?! » « Quoi ?! » « Promet-moi une chose...» « Je n'aime pas les promesses mais, je t'écoute...» « Prend soin de toi et...je suis désolé ».

UNDERCO'

© crédit (golden edge)

Alors...Je m'appelle Maureen, ou surnommée Calie, à cause de Caliméro --' Naan, je ne me plains jamais, ce n'est pas vrai ! x). J'ai 17 ans. C'est grâce à PRD que je suis arrivée ici, j'aime beaucoup le forum. Je sais, vous vous doutez bien, autrement je ne serais pas inscrite, ce que j'aime particulièrement ? Les couleurs, le contexte. Ho, puis j'aime le nutella , rigoler donc inutile de vous signaler que je suis une personne légèrement folle